Au moment où sort la suite des aventures de Sherlock Holmes, La maison de soie (Calmann-Lévy) sous la plume autorisée d'Anthony Horowitz, je me devais de profiter d'une virée londonienne pour faire un pèlerinage au 221B Baker Street, la célèbre adresse de Sherlock qui abrite aujourd'hui le musée qui porte son nom.
Du changement depuis ma dernière visite ; des figurines de cire grandeur nature reproduisant les personnages les plus marquants de ses histoires, entre autres. Alors bien sûr, c'est un étrange musée que celui qui rend hommage à un personnage de fiction ! C'est vrai, finalement l'endroit est troublant. Mais l'aspect commercial des choses se laisse facilement oublier au moment où l'on retrouve son âme d'enfant en grimpant l'escalier étroit qui nous mène aux appartements du grand homme. Visite en images...Nous y voilà... Tout près de Regent's Park (pratique pour pique-niquer), voici l'entrée du Musée, qui est aussi une boutique, bien sûr... où vous pourrez acheter des tas de gadgets rigolos et d'objets pseudo-historiques. Mais rien ne vous y oblige, après tout !
La jeune fille blonde n'est pas à vendre...
L'indispensable carnet de notes et sa loupe.
Une légende est-elle nécessaire ?
Le fameux violon de Sherlock... Ah ! les longues plaintes de l'instrument
durant les soirées d'insomnie du détective torturé...
durant les soirées d'insomnie du détective torturé...
On pensait bien que Sherlock Holmes s'intéressait à la chimie et aux substances... En voici la preuve !
Ne me demandez pas de quoi il s'agit au juste... Apparemment d'un dispositif électro-magnétique pour soigner les maladies nerveuses... Sherlock était un fan de technologies modernes.
Sherlock Holmes décoré par le gouvernement français pour services rendus !
L'inévitable chien des Baskerville... Sale bête !
Le docteur Roylott victime d'une épouvantable machination dans La bande mouchetée
Jabez Wilson, un des protagonistes de la Ligue des rouquins
Après toutes émotions, Holmes et Watson s'attablaient volontiers
devant un souper mitonné par Ms. Hudson
devant un souper mitonné par Ms. Hudson
Avant d'évoquer ensemble les souvenirs des enquêtes passées...
Devant la cheminée...
Horreur... Le fétiche vaudou retrouvé au domicile de M. Garcia, assassiné sur Oxshott Common
(Wisteria Lodge)
(Wisteria Lodge)
La belle Irène Adler, grand amour de Sherlock, en compagnie du roi de Bohème (Scandale en Bohème)
Et enfin, le "Napoléon du crime", comme le disait Sherlock Holmes lui-même : le Professeur James Moriarty
Bonjour à tous. Je suis allée visiter le Salon du livre de Montréal (Place Bonaventure) il y a peu de temps. C'était génial. J'y ai fait des découvertes sensationnelles.
RépondreSupprimerPour en revenir au web.
J'ai lu quelque part : "Vous êtes une personne suffisamment équilibrée et solide pour vous adapter à l’autre dans le but de le mettre à l’aise, le temps d’une conversation."
En fait, je trouve que cette affirmation correspond aussi à l'écrivain. Ce dernier doit avoir, lui aussi, la faculté de s'adapter à ses lecteurs sans risquer de tomber dans l'hypocrisie littéraire. Il y a tellement de beaux livres à découvrir. Le Temps des Fêtes approche rapidement. J’en profite pour choisir les cadeaux que je vais offrir. Vous avez lu dans mes pensées... cette année j’offre des livres à ma famille et mes amis.
J’ai réfléchi à ceci : offrir des BD aux adultes et de petits romans légers au plus jeunes. Bien entendu, c’est une période de détente et je désire ouvrir l’imaginaire de ceux que j’aime. Qu’en pensez-vous ?
Merci pour votre blog.
J'en pense que c'est une bonne idée... Et surtout, je trouve qu'il faut encourager les librairies indépendantes en y achetant nos livres. Elle ont bien besoin de nous en ce moment. Merci pour votre fidélité, à bientôt !
RépondreSupprimerEtant détective moi-même j'ai adoré ce petit musée comme vous pouvez l'imaginer. :)
RépondreSupprimerBonjour tout le monde. Lors de ma visite du musée il y a quinze jours, des gens de la région nantaise m'ont informée qu'un nouveau pastiche de Sherlock Holmes est également sorti en français aux éditions Paulo-Raman à Nantes. Le livre s'intitule Les damnées de Whitechapel et il est signé Peter Watson.
RépondreSupprimerMerci pour l'info !
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