Est ce que vous avez déjà remarqué que lorsqu'on attaque un livre assez gros et que l'on se sert d'un marque page pour ne pas perdre le fil on a tendance à jeter un œil sur la tranche du haut avant de le reposer pour voir où on en est ?
Avec la multiplication des compils qui sortent en poche certains de ces bouquins dépasse souvent les 1000 pages. Je ne sais pas pourquoi, mais lorsque j'aperçois le signet en tout début de lecture cela me décourage. Ce n'est pas que je suis flemmard du côté lecture mais c'est comme ça. Alors j'ai trouvé la solution que j'ai appliqué à la trilogie Berlinoise de Philip Kerr (un super polar au demeurant). Muni d'un bon cutter à lame fine j'ai séparé ce pavé en trois et du coup j'ai même pu prêter le premier volume ainsi découpé à peine fini. J'entends crier les puristes qui ne supporteront pas que l'on maltraite ainsi de la belle littérature. Et pourtant l'effet recherché en valait la peine puis qu’ainsi j'ai pu faire une nouvelle fan de cet auteur formidable dont je vous conseille le dernier opus: La mort entre autre.
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