
Quelques pages plus loin, c'est Megan Abbott qui prend la lumière, sous la plume de Clémentine Thiébault et Mikaël Demets, à qui j'ai quand même envie de signaler que toutes les femmes auteurs de polars ne sont pas de vieilles dames machiavéliques... N'est-ce pas Val McDermid et Denise Mina ? Et puis qui voilà? Tim Willocks, celui à qui mes bras ne disent pas merci (La Religion, 850 pages !) en interview, qui nous parle de son prochain roman, la suite de La religion, Children of Paris, du mal, de la spiritualité et de ses influences. Indispensable ! Et enfin LE cadeau du parrain d'Alibi, Roger Jon Ellory, qui nous offre ici un reportage littéraire écrit à Washington. Des rencontres bouleversantes, de précieuses paroles d'écrivain, 8 pages illustrées par Gabriel Germain où Ellory, à travers ses rencontres, en dit beaucoup sur lui... et sur nous tous. Enfin, un dossier très noir et très réaliste intitulé "Travailler tue" raconte et commente l'histoire de Mireille, suicidée après un long calvaire sous forme de harcèlement moral... A France Telecom, dans une usine esclavagiste? Non, dans une École de commerce. Vous savez, celles d'où sortent nos rutilants managers. De quoi donner des idées à Marin Ledun. Une histoire terrible, d'ici et de maintenant. Inutile de conclure : vous avez compris qu'il ne vous reste qu'une chose à faire : filer chez votre libraire préféré.
j'avoue moi je suis devenu accroc à cet revue!
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