Une image vaut mieux qu'un long discours. Voici les deux premières pages du
Faucon maltais version 1950 à gauche et 2009 à droite. La différence évidente permet de se faire une idée de la nouvelle tendance des traductions fidèles aux textes originaux. Ce qui n'est pas une généralité et ne doit pas non plus empêcher les traducteurs de s'exprimer dans la transmission des textes de pays étrangers. C'était juste histoire de faire avancer le schmilblik !
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A gauche, Le faucon maltais, Gallimard, traduit par Henri Robillot, 1950, disponible en Carré noir n°116
A droite, Le faucon maltais, Gallimard Quarto, traduit par Pierre Bondil et Natalie Beunat, 2009
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